Dathrohan, le mercenaire

Physique :
Je suis plutôt grand, environ 1m90, même si je préfère passer inaperçu, cheveux assez courts noirs . Mes yeux sont d'un bleu très clair quasiment la couleur de la glace. Je porte toujours une armure de plate sur le torse et le bras droit (je manie l'épée de la main droite) et en cuir sur le bras gauche, cette tenue est toujours entretenue . Je porte rarement un autre style vestimentaire sauf si je suis contrains. Je possède une cicatrise sur le nez causée par Maétulia.


Arme de prédilection Lance modifié en bâton de mage http://img07.deviantart.net/4f4b/i/2012/099/6/9/dragon_age_2__female_mage_hawke_staff_of_parthalan_by_cosplay4usall-d4vlkh9.jpg
Une dague simple sans ornement, juste une dague.

Mental:
je suis très bavard surtout après quelques pintes de bière. Je suis un beau parleur et blagueur. Mais dès que la situation devient sérieuse, je ne pense qu'à une seule chose, mon adversaire. Mais après, je cherche toujours à parlementer avant de combattre mon ennemi.
j'ai toujours su me débrouiller seul depuis mon enfance donc donner des coups  ne me dérange pas. Ma vie de mercenaire me satisfait entièrement, je n'ai pas besoin d'un logis ou d'une vie normale.
Manies :Je ne quitte jamais du regard Mae , car en un rien de temps, elle peut causer des catastrophes.


Peurs :J'ai surtout peur de l'eau et qu'il arrive quoi que ce soit à Mae.

Histoire
Je suis un orphelin humain. Je ne sais pas si  j'ai été abandonné ou si mes parents sont morts. Je fus recueilli par un elfe de feu du nom de Zaknafein alors que j'étais encore que un bébé dans son berceau. Il m'enseigna tout ce qu'il savait sur le maniement des armes, surtout la lance, ainsi que la magie runique. Il ne m'a jamais expliqué pourquoi il m'apprit cela, mais j'avais passé des nuits entières à réciter ces même runes et même quand je réussissais enfin à utiliser une rune avec difficulté, les autres elfes de feu en utiliser déjà plusieurs aussi facilement que de parler. Je compris donc que je devais redoubler d'efforts pour égaler tous ces elfes. Je me mis donc à travailler sans relâche pour apprendre quelques runes qui seront utiles en combat. Durant toute mon adolescence, je passais mes journées à travailler la maîtrise de la lance et quand mes muscles me lâchaient  je m'entraînais à lancer des runes à m'en épuiser la voix. C'était mon seul objectif, réussir à les utilisait en combat. Je me sentais heureux le jour où ma maîtrise de la lance et des runes se réunit parfaitement pour former un style de combat qui soit propre. Avec les elfes de feu, je m'entendais plutôt bien même si je ne me  sentais pas à ma place.
 
Dès que j'ai eu mes 20 ans, je décidai de partir de cette ville, non sans regret, et devenir mercenaire, je me dirigeais  donc vers Arnëron pour changer d'air. Adieu les ville elfes et enfin la civilisation humaine. Je me trouvais dans une des boutiques pour un morceau d'armure quand je sentis une main dans mon sac. D'instinct, je pris ma dague et je donnai un coup par-derrière. Quand je me retourné je vis une jeune fille habillée de haillons. La voyant pleurer en se tenant l'œil, je sus que j'avais fait une boulette (encore une), je me mis alors à sa taille et utilisai ma rune de cicatrisation pour la soigner. Cela étant fait, elle me regarda avec de grands yeux. Je compris alors ce qu'elle étais, cette fille étais une chimère. Je me disais que je ne pouvais pas la laisser ici comme ça. Je décidai alors de l'aider en lui donna un peu d'argent et à manger. Je suis parti en m'excusant de tant de problèmes mais elle me suivit dans l'ombre. Je lui dis à plusieurs reprises de me laisser mais elle persista. Ces chimères sont aussi têtues que des mules. Je me disais alors que je pouvais l'aider plus. Je lui demandai alors son nom, Maetulia qu'elle me dit avec un grand sourire. Autour d'un grand repas, je décidai de devenir son tuteur. On a vécu comme ça pendant 10 ans. La vie de mercenaire a du bon, payer pour tuer, il n'y a rien de mieux en ce bas monde. Mais le fait qu'un humain aide une chimère est très mal vu parmi les humains ce qui nous a causé de nombreux problèmes, à moins qu'il s'agît de son caractère qui nous cause des ennuis.